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La Paternelle et Derib présentent Yakari et l’étranger
Pour souffler les 125 bougies de l’assurance, La Paternelle s’associe avec Derib pour présenter Yakari et l’étranger. La bande dessinée avec le célèbre petit indien, dont le héros est un pélican dans ce numéro, est adaptée pour la troupe de La Paternelle.
La Paternelle souffle ses 125 bougies
De nombreuses activités sont proposées tout au long de l’année pour fêter ce jubilé : concours de dessin, stand au « 20 km de Lausanne », spectacle offert par le Cirque Starlight pour les enfants de La Paternelle, participation à des festivals, des courses, des manifestations et, pour terminer cette année de festivités en beauté, une soirée de Gala est organisée au Théâtre de Beaulieu.
100e anniversaire
Création d’une plaquette qui retrace les 100 ans d’histoire de la mutuelle. Dans sa préface, M. Guy Mayor, alors président du comité central, conclut: «La Paternelle est une œuvre d’amour, alors je souhaite que vous trouviez dans cette plaquette la solidarité qui a rayonné pendant cent ans».
Un pélican comme emblème
En 1884, le romantisme influence encore les mœurs et les sentiments. La Paternelle apparaît sous les traits d’une mère attristée protégeant deux petits orphelins. Au début des années septante, elle décide de moderniser son image pour la rendre plus adaptée à la société contemporaine. Le choix se porte sur un pélican: oiseau merveilleux, voilier incomparable qui protège ses petit·e·s. Un symbole fort d’amour, de générosité et de courage.
Des rentes versées en cas d’invalidité
Le comité décide de verser les rentes de La Paternelle non seulement en cas de décès, mais également en cas d’invalidité. Ces rentes sont calculées en fonction des décisions de l’assurance invalidité.
La Paternelle accueille les mères
La Paternelle fait «sa» révolution culturelle: elle va désormais accueillir les mères. Jusqu’alors seuls les pères faisaient partie de la société, car on estimait que lorsqu’une maman disparaissait, le père était toujours là pour gagner la vie de sa famille. On prend conscience alors que l’absence de sa femme met souvent le père dans une situation financière délicate. Depuis lors, de nombreux couples adhèrent ensemble à La Paternelle. Et bon nombre de mères qui sont seules pour élever leurs enfants.
60 ans et reprise des spectacles
En cette fin d’année 1944, La Paternelle s’est donné comme tâche de réunir, en famille, tous ses protégé·e·s, membres et ami·e·s. L’article de presse qui relate cet anniversaire cite les propos M. le pasteur Rosset qui évoque La Paternelle en ces termes : « un rouage important, utile, indispensable de notre organisation sociale, qui a toujours fait l’impossible pour que « ses » enfants puissent, une fois l’an au moins, voir se réaliser le rêve de Noël »
Un nouvelle famille pour les enfants assurés
Deux ans après la naissance de La Paternelle émerge l’idée d’organiser une fête de Noël afin de permettre aux membres de mieux se connaître et de resserrer les liens pour former une famille destinée à tous les enfants assurés. La première fête a lieu le 3 janvier 1886, au Casino-Théâtre, avec au programme musique, discours, chœurs et un arbre de Noël avec distribution de cadeaux.
Naissance de La Paternelle
La Paternelle, Société mutuelle d’assurances pour les orphelins, est créée le 3 décembre à Lausanne. Son premier président (par ailleurs syndic de Lausanne), M. Samuel Cuénoud, conclut ainsi le rapport destiné à l’Assemblée générale: «La société à créer n’assurera une pension qu’aux orphelins mineurs. Si donc un sociétaire a l’avantage de rester à la tête de sa famille jusqu’au moment où tous ses enfants auront atteint leur majorité et conquis ainsi leur indépendance légale, les versements qu’il aura faits à sa société ne profiteront pas à sa famille, mais à d’autres orphelins. C’est l’application du principe de mutualité que l’on retrouve dans les associations de secours mutuels.»
Les fondateurs de La Paternelle font œuvre de pionniers à une époque où la notion d’assurance est pour ainsi dire inexistante.